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Les sociétés précolombiennes ont façonné la forêt amazonienne

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Une étude internationale coordonnée par l’Institut national de recherche d’Amazonie (INPA, Brésil) et l’Université de Wageningen (Pays-Bas), à laquelle ont participé des chercheurs français de l’IRD, du Cirad et de l’Inra, vient de montrer que les espèces d’arbres domestiquées par les populations amérindiennes et disséminées à travers le bassin amazonien avant 1492 occupent encore une place importante dans les forêts actuelles. Ces résultats, qui remettent fortement en cause l’idée selon laquelle les forêts amazoniennes étaient autrefois très peu modifiées par l’Homme, sont publiés dans la revue Science le 3 mars 2017.

L’équipe internationale, composée d’écologues et de chercheurs en sciences sociales, a travaillé à partir des données de plus de 1 000 relevés[1] du réseau international Amazon Tree Diversity Network. Ils se sont notamment intéressés à 85 espèces d’arbres connues pour avoir été domestiquées par les populations précolombiennes pour leurs fruits, leur bois ou d’autres usages au cours des derniers milliers d’années (cacao, açaï, noix du Brésil par exemple).

En comparant la composition des forêts situées à différentes distances de 3 000 sites archéologiques répartis à travers l’Amazonie, l’équipe a montré que les espèces domestiquées avaient 5 fois plus de chances d’être abondantes dans les inventaires d’arbres que les espèces sauvages. De plus, les espèces domestiquées se sont avérées plus communes et plus diversifiées dans les forêts proches des sites archéologiques.

« Pendant de nombreuses années, les études écologiques ont ignoré l’influence des populations précolombiennes sur les forêts actuelles. Nous avons montré qu’un quart des espèces d’arbres domestiquées d’Amazonie sont largement distribuées dans le bassin et dominent de larges étendues de forêts. Ces résultats indiquent clairement que la flore actuelle de l’Amazonie est en partie un héritage laissé par ses premiers habitants », précise Carolina Levis, doctorante à l’INPA et à l’Université de Wageningen, première auteure de l’étude.

Préserver la première forêt tropicale humide du monde
Cette étude a également permis de localiser les régions d’Amazonie qui concentrent les plus importantes populations d’espèces domestiquées, comme le Sud-Ouest. A l’inverse, dans le plateau des Guyanes, les espèces domestiquées sont bien moins représentées, et la relation entre les espèces domestiquées et les sites archéologiques s’avère moins évidente.

L’équipe insiste sur la nécessité de conduire des recherches complémentaires sur l’histoire récente de l’occupation amazonienne, afin de décrypter les interactions complexes entre les facteurs historiques, environnementaux et écologiques qui structurent les 16 000 espèces d’arbres de l’Amazonie.

Les résultats de cette étude ont de nombreuses implications en matière de conservation de la biodiversité. En effet, les espèces d’arbres domestiquées jouent encore un rôle vital pour les populations amazoniennes. Or, les régions où ces espèces se concentrent sont soumises à différents risques : déforestation, dégradation, constructions routières, exploitation minière … Les chercheurs insistent donc sur l’importance de préserver en priorité ces régions riches en biodiversité.

[1] Inventaires des espèces d’arbres sur des parcelles de 1 hectare.

http://www.ird.fr/toute-l-actualite/actualites/communiques-et-dossiers-de-presse/cp-2017/les-societes-precolombiennes-ont-façonné-la-forêt-amazonienne

Flash News

 

Su oltre 800 amministrazioni locali analizzate, la quasi totalità ha implementato strumenti per affrontare i cambiamenti climatici, come piani di mitigazione (66%), di adattamento (26%) e integrati (17%). Lo rivela uno studio internazionale pubblicato su Journal of Cleaner Production al quale ha partecipato l’Istituto di metodologie per l’analisi ambientale del Cnr di Potenza. I più virtuosi sono i Paesi del Centro e Nord Europa, ma anche in Italia l’impegno è alto grazie al Patto dei Sindaci

Europa promossa sul tema dei piani climatici urbani, cioè i piani di mitigazione che le municipalità possono adottare per contenere le emissioni di gas serra responsabili del riscaldamento globale e i piani di adattamento per ridurre la vulnerabilità dei territori. Uno studio internazionale al quale ha partecipato per l’Italia l’Istituto di metodologie per l’analisi ambientale del Consiglio nazionale delle ricerche (Imaa-Cnr) di Potenza ha evidenziato, su un campione di 885 città appartenenti a 28 Stati dell’Unione Europea, che il 66% dispone di un piano di mitigazione, il 26% di un piano di adattamento e il 17% un piano clima integrato, che copre entrambi gli aspetti. Lo studio pubblicato sulla rivista Journal of Cleaner Production ha coinvolto un network di trenta ricercatori provenienti da diciassette stati europei coordinati dall’Università olandese di Twente.
“La ricerca mostra una distribuzione disomogenea, con una predominanza di piani climatici urbani sviluppati nell’Europa centrale e settentrionale e nelle città con oltre 500 mila abitanti: l’80% è dotato di piani sviluppati autonomamente o in risposta alla legislazione nazionale in materia, che impone tale obbligo in Danimarca, Francia, Slovacchia e Regno Unito. A influenzare positivamente lo sviluppo di questi strumenti è anche la partecipazione a network europei quali il Patto dei Sindaci (Covenant of Mayors) o progetti internazionali quali Life e Interreg”, spiega Monica Salvia, ricercatrice Imaa-Cnr. “Il 40% delle città analizzate aderisce al Patto dei Sindaci e di queste, il 94% dispone di un Piano d’Azione per l’Energia Sostenibile-PAES”.
“L’elevata adesione a questo network è cruciale anche per allineare i Paesi mediterranei e le città più piccole nell'azione per il clima”, aggiunge Filomena Pietrapertosa, ricercatrice Imaa-Cnr. “In Italia, in particolare, 58 su 76 città analizzate sono firmatarie del Patto dei Sindaci e di queste 56 sono dotate di un Paes (cfr. elenco in calce). Soltanto Bologna e Ancona, però, hanno sviluppato un piano di adattamento nell’ambito di progetti europei (rispettivamente Life Blueap e Life Act) anche se altre città hanno avviato un processo di pianificazione per identificare le vulnerabilità climatiche dei loro territori”.

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